1807 l'art de composer facilement et à peu de frais les liqueurs de table
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LES I:IQUEURS DE TABLE , etc.
n.u est
sique, sans blâmer ahsolument la première ' je ne dissimulerai pas que .la seconde mérite
la préféi·ence.
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C'est après le mélal).ge fait, et avant la fil- tration, qu'un bon liquoriste doit bièn exa- miner sa liqueur, pour voir si le résultat en est aussi parfait qu'il le désire; il doit toujours avoir dans son laboratoire une provision de . matières pro res à y faire les corrections qu'.il jugera nécessaires. fl lui est facile , en con- séquence, de remédier aux iuconvéniens qu'il pourrait y rencontrer; ainsi, par exemple , s'il ne croit pas sa liqueur assez aromatique , il lui est. possible de faire in fuser quelque peu des inerédiens propres :.{ cette liqueur; la croit -il au contraire trop aromatique, un e nouvelle dose d'eau-de-vie et de sucre, en a 1 - longeant celle qu'il a déjà foite, étendra L partie aromatique. Il en est de même pom· l'état plus ou moins spiritueux, et pour la saveur plus ou moins ucréc. Une pratique absolument condamnable e ·t celle de faire du mélange dans la ha .-.ine 011 a cuit le sirop ; ces sortes de vases présentent trop de su ·- f ce, et la première chose qui s'évapore e~t toujours l'esprit. Le mélange une fois fait et parfait, digéré (JU UOil , suivant l'idée du r-
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